Alix GHANADPOUR
PORTFOLIO
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L'Arménienne
Alix GHANADPOUR

Autoportrait
Alix GHANADPOUR

L'Immortel
Alix GHANADPOUR

Inaccéssible
Alix GHANADPOUR

La Spirale
Alix GHANADPOUR

Les Trois Grâces
Alix GHANADPOUR

Les Vengeresses
Alix GHANADPOUR
BIO
Alix Ghanadpour (alias Glaparse) est né en 1969 à Téhéran.
Il vit et travaille à Paris.
Expositions :
Galerie VivoEquidem, "J'ai mal ! J'ai peur !", (collective, 2016), Paris.
ST-ART, foire européenne d'art contemporain (collective, 2015), Strasbourg.
France Inde Karnataka, "Child care for all", vente par PIASA (collective 2015), Paris.
Galerie Elizabeth Couturier, "De l'apparence", (collective 2015), Lyon.
Galerie Elizabeth Couturier, "Silent of the flesh", (personnelle 2015), Lyon.
Atelier 3113, gravure, (collective 2013), Paris.
Galerie Abyssinie (collective 2009), Paris.
Espace Art et Liberté, (collectives 2006, 2007), Charenton.
Les Invalides (collectives 2005, 2007), les peintres de l'Armée, Ministère de la défense, Paris.
Espace Culturel Luxembourg (groupe 2005), Meaux.
Le Hublot (personnelle 2004), Ivry-sur-Seine.
MCA, salon international du monde des Arts et de la Culture (2002), Cannes.
Joel Garcia Organisation, GMAC (collective 2002) Quai Henri IV, Paris.
Espace Mezzara (personnelles 2002, 2003), Ministère de l' Éducation Nationale, Paris.
Collections :
Fondation Francès (2015).
A PROPOS
Alix Ghanadpour est un cas à part dans la peinture contemporaine.
Le peintre utilise tous les composants singuliers d’un Caravage, d’un Titien ou d’un Zurbaran qu’il adule au plus haut point, pour les transférer sur ses fresques contemporaines où les déviances sont pointées du doigt.
"L’Immortel", une de ses compositions iconoclastes, diffuse le refrain inlassable de notre époque. Le Selfie qui agite aujourd’hui politiciens, acteurs, chanteurs en vogue, s’immerge dans cette armée que le peintre connaît si bien. La toile touche un sujet sensible : la fierté du corps national est écornée. L’image, insupportable, correspond aux événements qui se sont produits récemment à Guantanamo… Le mécanisme de l’abject et l’esprit tortionnaire sont ici, brillamment évoqués.
La comédie humaine se déroule devant nous, devenue tragédie par la volonté de l’artiste, elle fait naître un sentiment de malaise, mêlé d’une étrange fascination.
Il faudra probablement attendre l’Apocalypse